En fait, tout a commencé par un délire avec Stéphane.
Stéphane, vous allez me dire, c'est qui ? Au départ, c'est un lecteur de ces pages. C'est aussi un acteur à ses heures. Même plus qu'à ses heures en fait. Si je réfléchis bien, Stéphane c'est en réalité une autre fée de la blogosphère. Pas celle dont je vous disais que je vous parlerais bientôt, non, une autre. Oui, je sais, je suis méga super gâtée, des fées y'en a un paquet autour de moi en ce moment. Même que ça me fait presque peur parce que bon, la seule nana que je connaisse qui en a eu autant au dessus de son berceau, elle a fini par se piquer le doigt sur un truc à coudre dont le nom m'échappe là tout de suite et elle a ronqué pendant 100 ans. Donc bref, ça me fait un peu peur. Mais la peur, là, on va la faire dégager parce que croyez moi ça empêche sacrément d'avancer dans la vie d'avoir la trouille. Et j'en sais quelque chose. Si si, je suis championne du monde de la peur, donc je vous assure que là-dessus j'en connais un rayon.
Donc, bref, Stéphane, un jour, il me contacte, et il me dit que tous ces textes sur la ronde, une fois mis ensemble, une fois retravaillés, et bien ça pourrait donner quelque chose qui pourrait ressembler à une pièce de théâtre. Et il me dit aussi que cette ronde qui serait l'héroïne de cette pièce, et bien voilà, c'est lui.
Oui, je pense qu'on peut dire que ça a débuté comme ça. Un jour, un homme m'a dit: "la ronde, c'est moi. Je veux la jouer, je sais que c'est moi".
Qu'est-ce qu'on peut répondre à un truc aussi dingue à votre avis ?
Exactement.
Et c'est bien évidemment ce que j'ai répondu. Un grand oui.
Et à ce moment là, je crois qu'on peut vraiment dire que tout a commencé...
à suivre...