Bon, c'est à nouveau un billet rapide que je vous propose aujourd'hui, la semaine est rude et chargée, à mon grand désespoir, moi qui ne dispose justement que d'un neurone et demi en ce moment.
Je voulais juste revenir cinq minutes sur cette histoire de Zermati.
Pour vous dire que nom d'un chien, ça marche.
Je t'assure.
En tous cas, en trois mois de grossesse, je n'ai pris qu'un kilo. Sans me priver de quoi que ce soit. En mangeant exactement ce dont j'ai envie et en m'arrêtant dès que je n'ai plus faim. Ce qui implique par exemple de ne jamais ou presque prendre de dessert le soir parce que je le sens à l'intérieur du corps qui est le mien que le soir vaut mieux que je fasse léger.
Je fais même deux goûters, un le matin, un vers 17h00. Bon, je vous arrête, faut pas demander la lune à jésus non plus, je boulotte pas des Paris-Brest tous les après-midi. Je me contente de deux biscuits type petits beurre ou spéculoos.
Mais genre à midi, si j'ai méga-envie d'une part de flan, et bien je me la tape. La part. De flan. Vous suivez ? Avec, je me contente d'une toute petite tarte aux oignons ou d'une salade, ou même d'un sandouiche. L'essentiel est de s'arrêter quand on sent qu'on est gavée.
Bon, je vais pas non plus vous la jouer Sonia Dubois qu'aurait tout compris depuis qu'elle a perdu 70 kilos. Non parce que ce n'est pas très exactement mon cas, entendons-nous bien. Mais je suis sidérée de ne pas prendre un gramme alors que je ne m'interdis plus rien. Sauf le vin. Mais ça c'est rapport à mon état, tu vois ?
En plus je précise quand même histoire que votre admiration soit réellement sans borne que toujours rapport à mon état j'ai arrêté la cigarette que j'avais opportunément repris cet été. Et que dans un monde normal, dans la vraie vie de la réalité, moi c'est direct cinq kilos, l'arrêt de la clope. Et là, rien. Nada.
Non, moi je dis, Zermati, c'est plus fort que la vierge marie.
Edit: Des allusions à notre religion fondatrice de notre civilisation se sont glissées dans ce brillant texte. Sauras-tu les retrouver ?