Enfin. Enfin à la maison. A cinq. Comme les cinq doigts de la main. Evidemment, des tonnes de choses à écrire, des billets en tête, des souvenirs à coucher sur ce blog.
Mais bien sûr aussi, des milliers d'heures de sommeil perdues, un ventre qui tire encore beaucoup et une sorte de prothèse humaine greffée à mes seins. Oui, eux.
Alors pour un post un peu plus long, il va falloir attendre un peu, le temps que je retrouve mes marques, que je rassemble mes idées et que je sèvre Pimprenelle.
Au plus tôt.
Naaaaaan, je rigole. Hors de question de n'être plus qu'un garde manger en plus d'un fantasme de John Waters.
Non parce que tout de même, cette photo a été réalisée sans trucage, voyez le genre ?
Tu notes malgré tout que je n'oublie pas de rester féminine en toute circonstance, appliquant la règle d'or de ma copine Zaz: "toujours porter quelque chose de rose".
Edit: Je n'ai pas les mots pour vous remercier de cette ferveur dans vos commentaires, de cette veille que vous avez effectuée autour de Rose, l'homme et moi pendant cette nuit si longue et si particulière. Je crois, j'en suis même sûre, que tout ceci nous a portées ma fille et moi, nous a enveloppé d'une douceur bienfaisante. Alors voilà, il y a désormais entre nous ce secret, ce lien indéfectible dont je vous suis redevable à vie. Un merci tout particulier à Denis pour sa prose incroyable.
Edit 2: Merci aussi à Manou, notre ange gardien toute cette semaine, qui a également bien fait vivre ces pages en mon absence.
Edit 3: Je tiens à décliner toute responsabilité concernant les propos tenus ici par un preneur d'otage répondant au sobriquet de l'Homme. Il m'a fallu négocier des heures durant pour reprendre les clés de la maison et lui faire comprendre que non, il n'était pas devenu indispensable à la survie de ce blog moribond.
Edit 4: Je t'aime, l'homme.