Allez, je suis sympa, j'ai choisi une photo plutôt flatteuse...
Et oui, c'était un bel endroit, le genre qui fait du bien quelques jours après avoir gueulé comme un veau les pieds dans les étriers...
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Allez, je suis sympa, j'ai choisi une photo plutôt flatteuse...
Et oui, c'était un bel endroit, le genre qui fait du bien quelques jours après avoir gueulé comme un veau les pieds dans les étriers...
Rédigé à 01:32 dans Photo du mercredi | Lien permanent | Commentaires (42) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:15 dans La parole à l'Homme | Lien permanent | Commentaires (117) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:37 dans La parole à l'Homme | Lien permanent | Commentaires (61) | TrackBack (0)
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Pour cause d'angine au troisième degré, ce blog est momentanément hors service, le temps que je récupère l'usage de chacun de mes membres endoloris. Faudra qu'on m'explique un jour pourquoi l'angine ça fait mal jusqu'aux doigts de pieds.
A plus tard peut-être si tant est que les antibiotiques fassent effet.
Ils auraient intérêt vu que pour la chtouille c'est gagné d'avance.
Bon début de journée mes poulets.
Edit: Je veux un calin de ma mamaaaaaan. Et aussi qu'elle me mette du vicks. Et aussi que j'aille pas à l'école.
Je veux avoir 7 ans.
Rédigé à 14:52 dans Je vous raconte ma vie | Lien permanent | Commentaires (47) | TrackBack (0)
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Alors aujourd'hui, il pourrait n'y avoir qu'un énorme down, ce serait celui qu'a représenté pour moi le congrès du PS. Mais tirer sur les ambulances n'a jamais été mon fort. Et puis je me dis qu'il vaut mieux en rire. Non parce que Martine qui explique que ce n'est pas un problème de personnes mais juste une impossibilité à se mettre d'accord avec Benoit et Bertrand sur un nom, quelque part, c'est amusant, non ? Ou François, qui a "honte" du PS. Lui aussi il me fait marrer. On récolte ce qu'on sème, mon chou. Et avoir déclaré avant le vote des motions que celle arrivée en tête serait légitime pour finalement revenir sur ses propos en expliquant qu'il y a "en tête" et "en tête" et qu'en l'occurence, Ségolène était en tête, ok, mais pas assez, et bien ça c'est honteux mon petit chat.
En fait, non, ils ne me font pas rigoler.
Je serais militante, j'aurais du mal à aller voter jeudi. Et dans le cas où Royal l'emporterait, je me demande bien ce que les caciques éléphantesques vont pouvoir trouver pour annuler le scrutin...
Allez, viens dans mon up and down, on va parler poils, collants et bananes, ça changera. En plus, pour compenser, y'a que du up cette semaine.
Rédigé à 13:53 dans Up and down et tops five | Lien permanent | Commentaires (61) | TrackBack (0)
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J'avais prévu un billet léger pour demain. Ensuite, pour cause de gros blues (retour de couches et premier biberon donné ce soir histoire de voir si les réveils nocturnes de l'iroquoise ne seraient pas dus à une grosse fringale), j'avais décidé de ne pas faire de billet du tout, pas le coeur à ça, trop fatiguée, trop broyeuse de noir (tout en étant la première surprise d'avoir autant de mal à mettre fin à cette parenthèse enchantée).
Et puis comme tout le monde ou presque, je suis allée écouter les deux titres de Noir Désir mis en téléchargement gratuit sur leur site.
Rédigé à 06:11 dans Pensées en vrac | Lien permanent | Commentaires (210) | TrackBack (0)
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A Trouville, quand on dînait aux Vapeurs, il y avait à côté de nous toute
une tablée de gens très bien comme il faut. Du genre à ne pas dormir à
l'hôtel mais dans la maison de famille quand ils viennent dans cette
charmante bourgade du Calvados. Ils avaient le teint frais et le regard
assuré des gens bien nés. Les manières distinguées, la voix qui
portait, des conversations balisées de Sicav et autres placements sûrs
en ces temps incertains. Les filles, blondes, forcément blondes,
étaient élégamment manucurées et leur main gauche lestée par des
pierres plus que semi précieuses. Jeunesse dorée, jeunesse gâtée. A un
moment, un couple s'est joint à eux. Comme ils ne connaissaient
manifestement pas tout le monde, il y eut ce savoureux instant des
présentations: "Marie-Dorothée, voici Jean-Amédée. Jean-Amédée,
enchanté, moi c'est Jean-Béranger". Sic.
Et oui, dans ce monde qui prend l'eau, survivent des Jean-Amédée mariés à des Marie-Dorothée. Ils vivent en autarcie, au pays de Candy et brunchent au Normandy...
Sans transition, c'est parti pour le up and down...Rédigé à 13:40 dans Up and down et tops five | Lien permanent | Commentaires (90) | TrackBack (0)
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Sur la plage de Trouville, il y avait des coeurs dessinés sur le sable. Alors forcément, en fan de Christophe, j'ai crié, crié-é, Aline, pour qu'elle revienne...
Sauf qu'en fait j'ai crié "Cindy", et j'ai pensé à Stéphane parce que ce coeur là, il était manifestement là pour lui. Un signe, je pense...
Edit: Pour les non-initiés, "Cindy" c'est le nom du personnage clé de la pièce de théâtre tirée de ce blog, "Dans la peau d'une grosse". Même que lundi, ils ont dû refuser du monde et ça, je ne sais pas comment ça s'appelle sinon un succès...
Rédigé à 13:48 dans Photo du mercredi | Lien permanent | Commentaires (41) | TrackBack (0)
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La première fois que je suis allée à Deauville avec l'homme, ce dernier m'a pris dans ses bras sur la plage et d'un ton parternaliste et suffisant m'a dit: "tu vois, là, on le sent tout de suite qu'on est face à un océan. C'est quand même autre chose que ta petite mer méditerranée. Tu ne peux pas comprendre ça, bien sûr, toi qui est de l'Est (imaginer le mot "est" prononcé avec tout le mépris d'un mec de l'ouest). Mais moi, l'Atlantique, j'y suis né et dès que je le vois, je me sens chez moi. Et puis chais pas, c'est pas pareil, un océan, ça ne donne pas la même impression, c'est puissant".
Sauf qu'à Deauville, c'est la Manche.
Une mer, donc. Petite, qui plus est.
Ce jour là, l'homme avait perdu une occasion de se taire. La première d'une longue série.
Des années plus tard, il avait également perdu une occasion de se retenir.
Et résultat, le week-end dernier, c'est à cinq qu'on est revenus sur les lieux du crime.
Ah, Deauville...
Rédigé à 13:26 dans Je vous raconte ma vie | Lien permanent | Commentaires (80) | TrackBack (0)
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Elle et lui, une fois n'est pas coutûme, dans le lit. Ils chuchotent
parce que l'iroquoise dort encore dans la chambre conjugale.
Pas parce que ça leur plait particulièrement de se réveiller au moindre bruit de bouche de l'enfant chérie.
Juste parce qu'on est à Paris, dans une famille de classe moyenne.
Et que par conséquent la demoiselle devra à un moment ou à un autre squatter la chambre d'un de ses aînés. Et que pour l'instant, ses parents se sacrifient pour que les aînés en question aient des nuits calmes.
Petit apparté, on oublie toutes les conneries sur la magie de la filiation, les petites mains adorables qui puent et tout le toutim. Après une semaine à se réveiller toutes les deux heures pour cause de pic de croissance mon cul, je la donne, Helmut.
Mais revenons à notre petit couple adoré...
Rédigé à 14:37 dans La ronde et l'homme | Lien permanent | Commentaires (84) | TrackBack (0)
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