Vous pensez que le spécial Maigrir m'a tuer et que c'en est fini de moi
même ? Et que c'est pour ça qu'aujourd'hui, nada ? Et bien vous avez tort. Attends, ce n'est pas parce que le Elle
me provoque personnellement en illustrant son numéro de "comment ne pas
déborder du maillot" avec une photo de la sublime et accessoirement anorexique notoire Natalia Vodianova que je vais me laisser abattre.
Ce serait faire abstraction du fait que j'ai pris un recul pas possible avec mon corps et son image et que je vis désormais en totale harmonie avec le gras que j'ai jusqu'à l'intérieur de moi.
...
Bon d'accoooooooooord, je n'ose même pas l'ouvrir cette saleté de magasine que j'ai quand même acheté. Et le recul c'est plutôt mon corps qui le prend avec moi que l'inverse. Voire carrément il s'est auto-émancipé, il a pris son indépendance. Et vas-y que je me fasse des provisions, et vas-y que j'en mette un peu ici, beaucoup par là, que je te prenne dans les nichons et que je te le redistribue sur les fesses, et vas-y que je stocke, l'hiver prochain ça servira, et vas-y que je te transforme ce gras bien ferme en cellulite.
Sans rire, de deux choses l'une. Soit j'ai vécu la guerre et la famine dans une autre vie et dans ce cas, ça se comprend, c'est le genre de traumatisme qui s'inscrit au plus profond de tes gènes. Soit - et c'est plus probable - mère nature est définitivement une salope.
Buse.
Pour ne pas dire truie.
Quoi qu'il en soit, dès que je me serai mise à niveau sur les nouvelles tendances trendy en matière d'amaigrissement rapide et durable (mouaaaaaarrrrrrffffffaaaaaaafffffaaaaaf) je reviens faire un débrief. Je sens qu'il va y avoir de la brochette de melon à tous les étages, moi.
Et des verrines.
C'est sûr que y'a des verrines.
L'arnaque du 21ème siècle.
Ou comment te faire bouffer un cm3 de guacamole pas maison et te le faire payer 12 euros tout ça parce que ça s'appelle "Rêve d'avocat au curcuma servi dans sa verrine".
Allez, bonnes brochettes de pastèque, moi je vais manger une tartine d'air.
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Bon d'accoooooooooord, je n'ose même pas l'ouvrir cette saleté de magasine que j'ai quand même acheté. Et le recul c'est plutôt mon corps qui le prend avec moi que l'inverse. Voire carrément il s'est auto-émancipé, il a pris son indépendance. Et vas-y que je me fasse des provisions, et vas-y que j'en mette un peu ici, beaucoup par là, que je te prenne dans les nichons et que je te le redistribue sur les fesses, et vas-y que je stocke, l'hiver prochain ça servira, et vas-y que je te transforme ce gras bien ferme en cellulite.
Sans rire, de deux choses l'une. Soit j'ai vécu la guerre et la famine dans une autre vie et dans ce cas, ça se comprend, c'est le genre de traumatisme qui s'inscrit au plus profond de tes gènes. Soit - et c'est plus probable - mère nature est définitivement une salope.
Buse.
Pour ne pas dire truie.
Quoi qu'il en soit, dès que je me serai mise à niveau sur les nouvelles tendances trendy en matière d'amaigrissement rapide et durable (mouaaaaaarrrrrrffffffaaaaaaafffffaaaaaf) je reviens faire un débrief. Je sens qu'il va y avoir de la brochette de melon à tous les étages, moi.
Et des verrines.
C'est sûr que y'a des verrines.
L'arnaque du 21ème siècle.
Ou comment te faire bouffer un cm3 de guacamole pas maison et te le faire payer 12 euros tout ça parce que ça s'appelle "Rêve d'avocat au curcuma servi dans sa verrine".
Allez, bonnes brochettes de pastèque, moi je vais manger une tartine d'air.