Lorsque j'étais petite et que je vivais dans cette grande maison partagée avec mes cousins (je vous en parlerai un jour), il y avait cette caisse remplie de Jours de France il me semble. Ils dataient un peu (beaucoup) mais avaient tous à la fin un roman photo. Et par chance, plusieurs numéros se suivaient. Je crois que c'est peut-être de là que m'est venue ensuite mon addiction aux Feux de l'amour.
Franchement, j'étais accro, je trouvais ça génial, ces histoires à l'eau de rose avec photos désuètes et me suis toujours demandé pourquoi les magazines féminins n'exploitaient plus la dimension potentiellement comique et dramatique du roman photo. Vous vous doutez donc que je suis devenue complètement accro à celui de Grazia cet été, qui fait intervenir people et anonymes autour d'une histoire qui tient en un mot ou deux (mais en réalité l'histoire on s'en fout).
Vous pouvez en retrouver tous les épisodes sur le site si vous le voulez. Je vous recommande aussi les semaines de Graziella, tellement plus drôles que les (feu) chroniques de Fonelle. En toute objectivité.