Une fois n'est pas coutume, un petit message d'espoir spécifiquement destiné à toutes les filles dont les cuisses se touchent... Il y a quelques jours, je remettais au goût du jour un billet écrit au printemps, sur les souffrances tapies sous les jupes des rondes.
Et là, une lectrice avisée et généreuse, Marilou, m'a fait part d'une découverte que je n'hésiterais pas à qualifier de bienfait pour l'humanité: la crème Nok, d'Akiléine. Rendons à César ce qui est à César, c'est Hélène qui parla la première de ce produit magique sur son blog 100% filles, vantant ses qualités exceptionnelles. Enrichie au beurre de Karité, cette pommade protégerait l'épiderme des inflammations dûes aux frottements intempestifs.
Curieuse mais sceptique, je me suis rendue dans une pharmacie acheter un tube de Nok. Délestée de 10 petits euros - je crois que j'aurais pu donner dix fois plus pour une telle cause - je suis repartie chez moi, impatiente d'essayer l'onguent.
Dès le lendemain, ce fut chose faite. Texture un peu épaisse, odeur agréable. J'ai massé longuement mon entrejambe jusqu'à pénétration totale et je suis partie travailler, pas tellement légère mais néanmoins court vêtue...
A chaque pas, je m'attendais à sentir les prémices d'une brûlure. Mais rien de tel n'arriva. Bien sûr, mes cuisses n'ayant pas réduit de moitié dans la nuit continuaient de s'embrasser à chaque enjambée, mais sans s'embraser. La peau lubrifiée glissait sans s'irriter. Après une journée de marche, aucune souffrance n'a altéré mes pérégrinations.
Voilà, rondes de tous les pays, sachez que le salut est à portée de pharmacie. Pour dix euros vous pourrez mettre à l'air vos gambettes et vous sentir... femme.