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Rédigé à 14:07 dans Je vous raconte ma vie | Lien permanent | Commentaires (107) | TrackBack (0)
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Bon, vous allez finir par penser que c'est devenu la braderie ici mais voilà, ma copine Zaz avait pris des places pour Vanessa Paradis au Zénith de Paris le 15 novembre. Et pof, elle peut pas y aller. C'est ballot hein ? Du coup, elle m'a demandé si à mon avis, ça pourrait intéresser quelqu'un qui passerait par ici. Alors moi j'y ai dit, "ben chais pô mais on peut essayer, hein !"
Ce sont des places assez chères, 47 euros l'une, parce qu'assises.
Pour avoir récemment vu Vanessa (ouais, depuis que je connais ses enfants et que j'ai failli avoir une nuit torride avec Jack, je l'appelle Vanessa) , je serais du style à vous dire que si vous êtes tentés, faut foncer. En même temps, je comprendrais qu'à cause de l'argent, bref.
Voilà, si ça vous branche, contactez moi par mail (indiqué derrière la rubrique "me contacter") et je vous mettrai en relation avec ma copine Zaz.
Rédigé à 03:01 dans Les bons plans des rondes | Lien permanent | Commentaires (23) | TrackBack (0)
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Allez, juste pour le plaisir des yeux. C'est moi ou bien, pfiouuuu ?
Rédigé à 01:00 dans Plaisir des sens | Lien permanent | Commentaires (62) | TrackBack (0)
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Allez, moi je dis que ça fait un bail que je n'ai pas hurlé dans le poste. Non mais c'est vrai, mon grand cri, c'est comme s'il avait disparu non ? Limite je m'interroge sur ma capacité de révolte qui se serait fait la malle.
Du coup, j'ai épluché le Elle cette semaine, en me disant que si je ne trouvais rien à redire à tout ce qui était écrit à l'intérieur, c'en était fait de moi, voilà, j'étais passé du côté de la force obscure.
Bon ben je te rassure, j'ai finalement déniché une petite perle.
Rédigé à 14:47 dans Coups de calcaire | Lien permanent | Commentaires (88) | TrackBack (0)
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Pour la première fois depuis quinze ans il n'y a pas deux anniversaires à fêter aujourd'hui. Et je sais que nous sommes nombreux, ce matin, à avoir cette pensée.
Nombreux à rêver de pouvoir faire le chemin en arrière, récrire le film.
Surtout ne pas t'en vouloir. Respecter, accepter, tenter de comprendre. Prendre ceux qui restent dans nos bras.
Je pense à l'Igéenne, je pense à ce petit de toi. Je pense à vous tous, de Lyon à Marseille, de Paris à Copenhague.
G, je suis tout près de toi aujourd'hui.
Edit: Je vous demande pardon pour ce message un peu codé. Ceux qui me suivent depuis longtemps comprendront que ce mois de novembre est endeuillé. Je ne cherche pas la compassion, je veux juste assurer ceux qui partagent cette douleur que je pense à eux.
Rédigé à 14:46 dans Instants douloureux et petites humiliations | Lien permanent | Commentaires (57) | TrackBack (0)
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Ce n'est pas parce que je fais une fixette sur mon lino ou mes chaussures que je suis une truffe, faudrait pas croire. Alors rien que pour toi, voici une petite critique de livre. Histoire de relever le niveau, quoi.
Et pour l'occasion, j'ai envie de te parler d'un drôle de bouquin. "Spellman et associés" de Liza Lutz.
Il a l'allure de la chicklit, la couleur de la chicklit, mais ça n'en est pas. De la chicklit (littéralement "littérature pour poules", à savoir "livre pour fille" dans la lignée des Bridget et consort, sauf que franchement, Bridget, c'était limite du Flaubert comparé aux pales copies qui ont pullulé ensuite)
Rédigé à 18:18 dans Envie de livres ? | Lien permanent | Commentaires (41) | TrackBack (0)
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En attendant un billet plus conséquent dans les heures qui viennent, voici le tant attendu Lino. Alle-y, déchainez-vous, il est laid très laid, je le sais. N'hésitez pas non plus à vous lacher sur la Birkenstock, j'avais pris cette photo pour un autre post je pense, probablement une ode à la Birk, chaussure confort s'il en est.
Je sais, confort et féminité, ça fait deux. Ou trois. Ou douze. En plus, le deuxième effet kiss cool de la Birk, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte cet été, c'est que si tu la portes régulièrement - tous les jours du 1er juin au 15 septembre par exemple comme quelqu'un que je connais intimement pour pas dire plus - et bien tu as de la corne aux pieds après. En plus de trainer la godasse et d'avoir l'air de pas grand chose. Par contre t'es à l'aise.
Rédigé à 14:21 dans Je vous raconte ma vie | Lien permanent | Commentaires (39) | TrackBack (0)
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Aujourd'hui, c'est un billet décousu parce que voilà, parfois, on est décousu. C'est un truc qui ne t'arrive jamais à toi ? Bon alors, tu vois. Allez, en vrac et pas dans l'ordre:
- J'ai découvert dans le Elle de la semaine dernière que le lino de mon salon que je considérais jusqu'alors comme la chose la plus laide qu'il m'ait été donné de voir est en réalité le nouveau parquet des femmes du monde. Moi je dis merci la mairie de Paris - oui, mon appart est un logement de la Ville de Paris que même pas j'ai grenouillé pour l'avoir mais que j'avoue quand même sur ce coup là on a été les rois du pétrole d'autant qu'on ne connait ni Tibéri ni Delanoë - d'avoir RECOUVERT consciencieusement le parquet d'origine de mon living de cette moquette en plastique grise avec des nuages gris aussi dessus. Oui, MERCI parce que sans toi, mairie de Paris, j'avoue je n'aurais jamais été before the tendance of the lino. Tu sais le plus drôle ? Je suis tellement perméable à ces conneries que depuis cet article du Elle je le regarde autrement, ce crétin de lino. Alors que je ne te cache pas qu'au départ j'ai tout de même été légèrement agacée que pour des raisons administratives - la mairie de Paris n'assure pas le parquet - on nous colle du lino "nuages" partout.
Rédigé à 14:03 dans Pensées en vrac | Lien permanent | Commentaires (61) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:14 dans La ronde et l'homme | Lien permanent | Commentaires (88) | TrackBack (0)
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On avait envie d'aller à Londres. Ou alors à Amsterdam. Ou pourquoi pas à Barcelone ?
Et puis il a fallu se rendre à l'évidence, lorsque qu'on s'y prend une semaine à l'avance pour organiser un séjour à l'étranger juste le week-end de La Toussaint, il faut: a) avoir beaucoup d'argent, b) avoir beaucoup d'argent.
Alors finalement, ce sera Deauville.
Avec sa plage, ses planches, son casino, ses rombières accompagnées de chiens qui leur ressemblent, son ambiance parfois très "La vérité", ses rues clinquantes qui n'ont rien à envier aux Champs-Elysées. Avec aussi Trouville la discrète en face et Les vapeurs où l'on mange des moules, des frites et des huitres. La mer à perte de vue et l'air iodé. Les maisons normandes et les caramels au beurre salé. Les palaces et les nuits chabadabada...
Voilà, on part deux jours pour aller marcher dans le sable et boulotter des fruits de mer - enfin surtout l'homme parce que moi les fruits de mer, ce n'est pas trop ça.
Alors mes petites madeleines, je vous embrasse et vous dis à très vite.
Rédigé à 13:03 dans Je vous raconte ma vie | Lien permanent | Commentaires (62) | TrackBack (0)
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