Avant de me marier, je n'aurais jamais imaginé porter une robe bustier. Dans mon esprit, c'était pour les meufs à Victor Newman ou Ridge Forrester. Voire pour la mère de ce dernier. Complètement nineties, quoi.
Surtout, exposer mon gras de bras, merci bien, il y a des limites à l'humiliation volontaire. Et que personne ne vienne me dire que j'exagère pour tout ce qui est gras de bras. Il y a trois ans, je pesais 10 kilos de plus dont les 3/4 dans ce qui fait office chez moi de biceps. Sachant qu'il ne faut pas rêver, quand le gras s'en va, les manches chauve-souris sans pull arrivent.
Bref, on m'aura comprise, les robes bustier, ce n'était pas pour moi, no way, Never of my life me alive.
Et puis j'ai rencontré Olivier Freine. Le couturier qui aimait les femmes. Toutes les femmes.