Je devais publier aujourd'hui ma famous liste de bouquins à lire cet été. Et puis pas de bol, il y a les championnats d'Europe d'athlétisme. Avec tout un tas de Français qui gagnent. Par conséquent je suis complètement scotchée à mon écran depuis deux jours et à chaque victoire ou médaille je pleure comme Rose quand on lui refuse un troisième granola.
C'est tout de même assez troublant d'être à ce point inapte à tout ce qui ressemble de près ou de loin à un effort physique et capable néanmoins de devenir hystérique devant une finale du 100 m. Sachant qu'avec le curling ça fonctionne aussi. Ainsi que le combiné nordique.
Bref, promis, ce week-end je potasse la liste et je la mets en ligne dès qu'elle est finie.
A part ça, je dois avouer être grandement soulagée à l'idée que des inspecteurs des impôts aillent mettre un peu d'ordre chez tous ces voleurs de poules et conducteurs de mercos chourrées à d'honnêtes contribuables. Grâce à la cellule de crise Elyséenne anti-tziganes, ces bandits vont enfin rendre à l'Etat ce qui lui revient. Et les vaches seront bien gardées. D'autant que ces bons à rien ne sont même pas fichus de gagner des médailles à Barcelone. Ils ne servent vraiment à rien, c'est affligeant.
Par contre, par pitié, LEAVE LILIANE ALONE.
Edit: Vous avez remarqué comme il a l'air sexuellement excité Brice, quand il parle des grosses cylindrées ? Rhhhhh, coquin, va.
Edit2: J'ai l'air de plaisanter, comme ça, mais à l'intérieur de moi je suis consternée.
Edit3: Par contre, on n'est toujours pas complètement sûrs pour cette histoire de Plastic Bertrand et ça me chagrine.
Edit4: A part ça j'avoue trouver assez savoureuse la grosse marrade sur l'internet anglais à propos de la légère incapacité de Carla B. à paraitre naturelle en se baladant dans la rue une baguette de pain sous le bras. 32 prises pour ça, cinq heures de tournage et un président au spectacle à 2h du matin pour regarder madame se ridiculiser, tout ça alors que notre pays est mis à feu et à sang par des hordes de gens du voyage assoiffés de grosses cylindrées. Où on va, hein.