Comme l'exercice a semblé vous plaire hier, voici la part two du meilleur du best-off 2010. Par rapport à ce que je disais sur cette idée du bonheur qui fait peur quand on en prend conscience, plusieurs d'entre vous ont je crois mis le doigt dans les commentaires sur quelque chose de très juste. Plus que la joie finalement, c'est la capacité à l'apprécier, qui compte. Et ça, ce n'est pas évident tous les jours.
Je vous souhaite pour aujourd'hui de parvenir à saisir un instant de félicité et je me le souhaite aussi, tant qu'à faire.
Allez c'est parti...
Mai
Où j'ai découvert que je pouvais avoir une taille.
Où je suis allée à Ségovie et mangé le meilleur jamon du monde.
Où j'ai joué à "where is the computer" sauf que ce n'était pas un jeu. Ici et ici.
Où j'ai découvert ma minuscule nièce, fighteuse de distilbène, qui depuis a grandi, grandi, grandi.
Où Rose investit aussi LA terrasse de Manou. Et qu'elle ne se fait même pas engueuler.
Où les pois m'aident à parler en public.
Où Helmut se rappelle à moi AUSSI dans ces moments là
Où on fête les 20 ans d'amour de Julien et Chloé
Juin
Où on se demande si les enfants sont vraiment de droite ou plutôt complètement de gauche. Tout ça dans un camp de romanichels, en plus.
Où j'ai acheté un nouvel appareil photo et ça se voit. Un peu.
Où on prend le premier bain de soleil de l'année, à quelque encablures de Carla B et Jean-Pierre Pernaud. Tout ça à l'occasion d'un week-end familial.
Où le churros perd son travail le jour de ses 40 ans. Et en retrouve un deux mois après. Comme quoi.
Allez, c'est tout pour aujourd'hui, non ?