Je vous avais dit que c'en était fini de Maurice mais étant un peu dans les choux depuis mon retour et surtout en transit entre Paris et Lyon pour aller chercher mes lardons, je me suis dit qu'en guise de billet, je pouvais aussi vous livrer ces instantanés, plus spontanés que mes photos au Reflex, sans forcément grande valeur artistique (ceci dit les autres ne sont pas non plus très remarquables, j'ai une grande conscience de mes limites en la matière, même si j'adore l'exercice) mais que j'aime parce que bizarrement, je n'immortalise pas la même chose à l'I-phone qu'au Reflex. Je me demande s'il n'y aurait pas matière à thèse universitaire. Non ?
Allez, je reviens demain, ou plutôt c'est Marje qui reviendra avec la seconde partie de ses conseils de lecture, pour nos ados cette fois-ci !
Que seraient des vacances sans photos de doigts de pieds manucurés au bord d'une piscine ?
Un soir il y a eu un mariage dans l'hôtel. J'avoue, j'ai trouvé ça romantique à en pleurer. Les amis des mariés chantaient "une maison bleue" de ce cher Maxime et moi j'avais les yeux qui piquaient.
Les margharitas étaient salées à souhait. Et chargées à bloc (les Mauriciens ne sont pas radins au niveau de l'alcool)
Je crois que c'est ainsi que je m'imagine le chateau marmont à L.A. On dirait qu'Ava Gardner va débouler, non ?
Le churros au matin faisait trois repas en un: d'abord les croissants, ensuite oeuf/bacon/baked beans et enfin assiette de fruits ("ça pousse le caca")
Vu qu'on n'avait pas pris de demi-pension, on s'est rabattu plus d'une fois sur le room service (en somme nous avons mangé essentiellement des clubs sandwichs. Très couleur locale)
Les troncs des filaos me fascinent, ils ont quelque chose de... sexuel ? (ou alors je dois aller voir "quelqu'un" vous pensez ?)