Hier soir, après deux journées plutôt harrassantes - on ne reviendra pas sur la rentrée il me semble que j'ai été assez prolifique finalement sur le sujet - j'ai eu la chance de vivre une parenthèse enchantée.
Un instant de poésie hors du temps, un petit cadeau de la providence qui m'a permis non seulement de me poser deux heures sans avoir à me demander si je n'avais pas un rendez-vous téléphonique calé entre deux sorties d'école ou un formulaire d'inscription à remplir (je pense avoir écrit 79 fois mon numéro de téléphone depuis lundi matin et apposé le double de signatures au bas d'une centaine de papiers dont certains je crois se contredisent).
Stooooop. On a dit qu'on ne parlait pas de la rentrée.
Parlons plutôt de Feist.