Trop de travail, une visite impromptue hier d'un ami qui vit à tataouine et pof, pas de billet du coup aujourd'hui.
Je suis démasquée, je ne fais pas de marbre, comme on dit dans la presse, à savoir que je n'ai pas de posts d'avance, jamais.
Bref, un non-billet, pour vous dire que tout de même je suis excitée comme une puce vu qu'à midi je participe à un truc de blogueuses - et croyez moi c'est rarissisme, je suis l'arlésienne des "opé" (du nom de ces manifestations où sont invitées les influentrices de l'internet). En général ça tombe mal, ou bien c'est loin, ou bien en fait, j'ai la flemme.
Mais là mes chewies, je ne pouvais pas dire non, c'est pour déjeuner avec Christina Cordula et jouer les tintins petits reporters pendant une séance de relooking (enfin si j'ai bien compris, ce qui n'est pas évident, on ne s'improvise pas professionnelle de l'opé comme ça).
Surtout, la thématique, c'est la petite robe noire. Alors du coup, moi, je suis habillée comment aujourd'hui ? Ben évidemment. Et ce qui me fait marrer, c'est que c'est donc la même que celle arborée il y a genre cinq ans lors de ma brève mais intense carrière dans le mannequinat (part one et part two)
Si ce n'est pas la preuve que je suis une adepte de la décroissance. Si je vous dis en plus qu'elle vient de Camaïeu, vintage 2004 ?
I know. Un-be-lea-ve-ble
Je préfère ne pas m'étendre sur les conditions de cet auto-shooting. Je me contenterai de vous indiquer pudiquement que je manquâs mourir. (le siège du piano de ma fille n'a pas nécessairement apprécié ma charge matinale).
(ohhh, mais où sont passés tes yeux, les as-tu perdus dans la pile de linge à repasser ?)
Quant aux bottes, elles sont signées H&M, elles sont en plastique ou pas loin, m'ont coûté quelques 40 euros et ont été achetées avant tout parce que pour la first time of toute my life, je rentrais dans un modèle non extensible et non calibré pour mollets rondouillets. Aussi j'ai l'impression d'être Diane Keaton avec. Par contre je ne sais pas marcher plus de cinq minutes quand je les porte. Toujours cette histoire de cambrure sa mère.
Voilà, c'était un billet qui ne devrait pas manquer j'imagine de faire réagir toutes celles qui en ont marre des commentaires à la oui-oui et qui disent un grand non à la censure politiquement correcte. Non ?
En attendant dès demain je vous raconte ma rencontre avec celle qui est une de mes idoles absolues de l'univers télévisuel...