Il y a un an, la vie a perdu de ses couleurs. Depuis ce jour là, nous avançons en rang serré parce que c'est la seule façon que nous avons trouvée de continuer. Mais si l'on rit encore, ça n'est plus comme avant. Et si l'on danse, parfois, c'est parce qu'il n'y a plus de mots.
Ce matin, mes pensées ne vont que vers eux.
La vie est monstrueuse, aimez la vie, disait l'auteure de "Nos étoiles ont filé". Désormais je crois toucher du doigt ce qu'elle entendait par là.
Take care