L'anniversaire de tes enfants, c'est la double peine. A savoir que tu te traines la misère toute la journée, confrontée que tu es à la réalité du temps qui passe (putain, onze ans) mais qu'en sus, il est impossible d'échapper à la corvée de l'année: la fête avec les copains.
Je rectifie: quand tu as eu la bonne idée de pondre des jumeaux, tu prends carrément perpète. Je reviendrai sur les immondes tractations de mon fils plus élaborées chaque année pour m'arracher la permission d'inviter non pas les CINQ amis réglementaires mais six, puis sept, puis dix. Là n'est pas le sujet.