Depuis hier, cette histoire de séduction me turlupine (ça va, ça va, on se calme, pas de contrepétrie à l'horizon, on remballe).
Je veux dire: bien sûr, je ne m'habille pas le matin pour être un garage à flutes, ça c'était une sorte de boutade stylistique, pour donner de la joie à mes lecteurs.
Mais par contre, je ne vais pas le nier, j'ai à l'esprit, souvent, le regard que l'autre - et souvent l'autre étant burné - va porter sur moi. J'en avais déjà parlé du temps d'un devoir du soir imposé par le docteur Z, sur le mode "Faut-il se plaire pour s'aimer".
La réponse étant non, hein. Pas besoin.
Et je ne vais pas vous redire pourquoi, c'est par ici.
Je me rappelle avoir confié alors à mr Z. que j'avais ce besoin de séduire. Et qu'il m'avait répondu que c'était souvent le cas quand on n'avait pas eu son compte de drague à l'adolescence (il ne l'avait pas dit comme ça mais c'était l'idée). En gros, à bientôt 40 ans, j'en suis encore à vouloir sortir avec Nicolas Guiguet, 4eB. Probablement homosexuel qui plus est mais on s'égare, on parlera de ce petit TOC - autrement appelé le syndrôme de la fille à pédés - que j'eus durant les 25 premières années de ma vie, une autre fois.