William Réjault a écrit un livre. "Ce chemin qui venait vers vous". Ce n'est pas le premier, mais je crois que c'est celui qui lui tient le plus à coeur. Il me contredira s'il veut.
Je ne l'ai pas encore lu.
Pour la bonne raison qu'alléché par le titre, le churros s'en est emparé. Au début, j'ai fait mon mauvais esprit sur le mode "ok, d'ici que tu l'aies fini, il sera sorti en poche" (le churros lit trèèèès lentement).
Et puis en fait, non, il l'a boulotté.
Du coup, je lui ai demandé de m'en faire un billet. Parce que quelque part, étant donné que Will et moi on se fréquente (pas bibliquement, on vient de Vénus tous les deux, parait que du coup, ça ne peut pas marcher), c'est difficile de faire une critique de son oeuvre. Si j'aime, je vais être un peu soupçonnée de copinage. Si je n'aime pas, je ne vais pas avoir envie de le dire, j'ai trop de respect pour l'acte même consistant à suer sang et eau sur une histoire et je crois qu'en amitié toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Le churros ne connaissant de Will que son penchant à me faire chanter du Abba en français devant Björn, il ne s'est pas embarrassé de mes scrupules. D'autant plus qu'il a aimé. Ce qui lui a facilité la tâche.
En plus je crois que ça lui manquait, de faire des interventions sur ce blog. Ça va aussi redorer son blason, rapport que paraitrait que dans un certain milieu parisien journaleux, il se murmure que la femme du churros tient un blog pornographique. Y'a des gens dont la vie doit être d'un triste tout de même...
Allez, place à la critique littéraire, je laisse la parole au churros...