Outre le fait que je compte les minutes qui me restent avant les vacances d'été depuis environ le 12 janvier, que partir en vacances le 31 juillet implique d'avoir dit au revoir à la majorité des copains juilletistes et reçu une dizaine de cartes postale de ces chacals en train de boire des mojitos à Tossa de Mar ou autre endroit ensoleillé, que les enfants se sont acquittés de leur colo, revenant potentiellement couverts de poux et que par conséquent on en est à la deuxième tournée générale de Pouxit, la saloperie qui te graisse le crâne pour les six mois à venir et que le temps à Paris est pour ainsi dire changeant (= octobre un jour sur deux), il est plus que temps qu'on se casse de notre humble demeure.